La nature humaine est complexe et tout à fait intrigante. Bien qu’il soit fait et créé après le propre cœur et la conception, l’inclination et la bienveillance de Dieu, néanmoins il héberge les tendances les plus fortes vers le mal.
Pour manifester cette résonance symphonique glorieuse de bonne nature, il prend une volonté olographe de conscience pour la culture, persévérance, travail dur, sacrifices et l’art d’abnégation, considérant que le mal émerge, comme la Déesse Athéna, entièrement développée et armée, musicale et prise par de vieux hommes sages et donnée une éducation instantanée mais extraordinaire, controversée et polémique.
Dans chaque être humain de bonne nature et de bienveillance se trouve un guerrier archaïque ; comme les dieux, particulièrement Athéna, nous cherchons à refaire le tissage du monde, et pour le transformer en univers fier et luxueux, néanmoins méchanceté et iniquité seront effrénée comme peste.
Un guerrier archaïque ressemble à un poisson « seiche », qui se cache en sa propre encre, espérer ne pas être découvert ou dévoré sous les mâchoires d’un poisson plus puissant.
Un guerrier archaïque souffre du sien s’est infecté des blessures couché sur le dos, les couvrant avec un pansement pour extorquer à la sympathie et la pitié comme loup en tissu d’un agneau.
La torture d’un mauvais guerrier est enfer de son âme vivante, considérant que martyre sur l’autel de l’humanité, est le désir et le but finals d’un bon guerrier.
Un guerrier archaïque vit les jours de Mathusalem, tout à fait long et torturant, et assume le titre Paladin chevalier-errant sans puissances égales de Charlemagne.
En ce monde, le guerrier archaïque est comme les maladies, ce qui sont plus courageuses que la santé, elles sont des conquérantes, envahisseurs, usurpateurs, dévastateurs, et dans la plupart des exemples facilement propagées, largement contagieuses, entièrement conductible et irréversiblement mortelles.