Le sujet est trop exquis pour la maladresse des mots et trop sophistiqué pour le manque de meilleurs termes pour être confronté comme issue, comme toute autre issue, avec des perspectives et des conclusions différentes en dépit des dispositions subjectives, attitudes et arrangement.
Le « Je » (moi) glorifié et magnifié », l’identité personnelle de la personne entière, le sujet et l’objet de la conscience individuelle, exprimée par l’emphase sur des intérêts et des désirs irrévocablement égoïstes et personnels, semble à peine accidentel et coïncident à l’espace libre loin le détritus des décennies de l’objectivité clinique et de l’acquisivité culturelle en traitant le sujet comme ésotérique et abstrait.
Les Français visent la moi-manie comme le « Je » haïssable (moi détestable) », puisqu’à ses racines toutes camps mauvais, aveuglé par les intérêts égoïstes spéciaux et l’amour de se récompenser.
La saga interminable de la moi-manie est, essentiellement, l’impulsion et la cinématique des émotions, intéresse et désire qui dictent la justification de se récompenser et de se glorifier. Considérez que c’est l’os sérieux de la controverse dans des couloirs de la vie, puisque discuter au nom de s’est comme essayer en vain de montrer qu’il y a lumière pendant la journée et obscurité dans la nuit.
Défilant par les mots combinés et dérivés de la moi-manie, de l’égoïsme, égotisme, égocentrisme, Pharisaïsme, moi-suffisance, moi-confidence, aide-moi moi-même, moi-respect, moi-estime, amour propre aussi bien que défense personnelle, on s’interroge étonnement sur les cheveux minces décrivant l’exaltation intérieure, la moi-satisfaction et égoïsme préconisés par le monde, tandis que les trois Religions célestes demande abnégation, abjuration et sacrifice de soi-même.
C’est évident de soi-même que l’éloge et amour de soi, bien qu’essentiel à l’évolution de ses caractères, si soyez les seuls critères par lesquels on agit l’un sur notre compères, comme cheveux tenir le positif avec le négatif est tellement légèrement et faible qu’il exige de grand control de soi de le maintenir de se casser, alors je peux dire : « J’ai vu une personne sans le sien ».
Observons les mots d’Horace : « Le pin élevé est souvent agité par les vents, les hautes tours se précipitent à la terre avec une chute plus lourde, et la foudre heurte le plus fréquemment les plus hautes montagnes ».